Projet de transport au MaineLes principaux permis de l’État ont été obtenus

Le projet de ligne de transport visant à alimenter le réseau de la Nouvelle-Angleterre en vertu du contrat avec le Massachusetts a été autorisé par le département de la protection de l’environnement du Maine. Cette décision arrive au terme d’un processus rigoureux de deux ans et confirme que le projet respecte - ou surpasse – toutes les normes établies par l’agence environnementale.

Jusqu'à présent, le projet New England Clean Energy Connect (NECEC) satisfait à toutes les exigences du processus d'autorisation et a reçu les trois principaux permis de l’État. Les validations du corps des ingénieurs de l’armée; de l’ISO de la Nouvelle-Angleterre et du département de l’énergie (permis présidentiel) restent à venir. Diverses approbations municipales doivent aussi être obtenues.

De son côté, Hydro-Québec souhaite obtenir l’ensemble des permis requis pour la ligne de transport à construire au Québec d’ici à la fin de 2020 et entamer la construction au printemps 2021.

Une fois construite, la ligne NECEC transportera la plus importante quantité d’énergie renouvelable consommée dans la région, ce qui permettra à celle-ci de diminuer significativement les émissions de gaz à effet de serre tout en réduisant les coûts de l’énergie au Maine et dans le reste de la Nouvelle-Angleterre.

Grandes lignes du projet

La ligne aura une capacité de 1 200 MW.
Au Québec, le tracé proposé traverse le territoire de la MRC des Appalaches et de la MRC du Granit sur environ 100 km. La future ligne sera jumelée à une ou des lignes existantes sur 73 % de son parcours.
Au Maine, le tracé s’étend sur 233 kilomètres, de la frontière jusqu’à la ville de Lewiston, dans le sud de l’État. Il suit une emprise existante sur les deux-tiers de son parcours.
La mise en service de la ligne NECEC est prévue pour l’automne 2022.

Informations :

Lynn St-Laurent
Porte-parole, Hydro-Québec
514 358-5218 (c) / 514 289-5005